Crostini au tartare de courgettes marinées, roulé de bresaola aux arômes d’Italie !

Nous voici de retour de la rencontre familiale anuelle, où nous avons passé du très bon temps avec les cousins d’origine italienne. C’est peut être ce qui a inspiré cette recette… à moins ce que soit un diner chez des amis qui nous avait servi de petits rouleaux de bresaola semblables à ceux sur ces crostinis !
J’ai voulu les accomoder de tartare de courgette, étant une inconditionelle des légumes crus !
Une recette rapide et très fraîche, à déguster sans modérations les soirs de printemps torrides !

Ingrédients :
1 pain complet
150g de tranches de bresaola
1 pot de ricotta
2 poignées de roquette
1 petit bouquet de basilic
50g de pignon de pain
1/2 gousse d’ail
1/2 piment hâché
Sel, poivre, huile d’olive

 

Mixer ensemble la ricotta, la roquette, le basilic et les pignons. Rectifier l’assaisonnement avec du sel, du poivre et de l’huile d’olive. Réserver au frais.

Etaler une trache de bresaola sur une feuille de papier sulfurisé, y déposer une cuillère du mélange précédent et rouler le tout comme un cigarre. Répéter l’opération jusqu’à épuisement de bresaola et de farce. Réserver les petits rouleaux au frais.

Couper la courgette en brunoise. Assainonner avec le piment hâché, sel, poivre et huile d’olive. Laisser mariner 30 minutes au frais.

Couper le pain en tranches, le faire griller et le frotter avec la demie gousse d’ail.

Dresser : disposer une cuillère de tartare de courgette sur chaque tartine grillée, et surmonter le tout d’un petit rouleau de bresaola. Déguster bien frais !

Onion rings super crispy

Parce que même si l’on n’aime pas un ingrédient, il est toujours bon de savoir le cuisiner…
Voici une recette très simple et rapide pour un apéro improvisé, une soirée foot ou juste pour faire plaisir à ceux qui aiment ça !

Ingrédients :
1 gros oignon
100g de farine
50g de maïzena
10cl de bière
1 oeuf
1 cuillère à soupe d’huile
1 pincée de sel
3 grosses poignées de chapelure japonaise
de l’huile pour la friture

Couper l’ognion en grosses rondelles.

Dans un saladier, mélanger d’abord la farine, la maïzena et le sel. Ajouter la bière en mélangeant bien au fouet pour éviter les grumeaux. Ajouter l’oeuf et la cuillère d’huile. Voilà pour la pâte (1 minute montre en main)

 Faire chauffer l’huile à friture.

Plonger les rondelles d’oignon d’abord dans la pâte, les rouler dans la chapelure japonaise, et les plonger enfin dans l’huile chaude (170°)

Quand les onion rings sont bien dorés, les sortir, les déposer sur un papier absorbant et les saupoudrer de sel.

Déguster chaud avec les doigts !

Tarte gourmande à la rhubarbe

… Nous voici de retour de chez le grand-père de Monsieur, les bras chargés de rhubarbe ! Même si pour moi, rien de meilleur qu’un bâtn de rhubarbe cru trempé dans du sucre, d’après lui, le must c’est en tarte… donc je m’exécute docilement (et en mets toutefois quelques bâtons de côté pour griognoter) 😉

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Ingrédients :
– 1 pâte sablée
– 500 g de rhubarbe (4 gros bâtons)
– 2 oeufs
– 25 cl de crème fraîche
– 200 g de sucre
– 80g de poudre d’amande
– 1 cuillère à café de vanille en poudre

Préparation :

Préchauffer votre four à 180°C

Laver les bâtons de rhubarbe, les éplucher et les couper en petits morceaux. Les faire dégorger dans un saladier avec 100g de sucre, pendant environ 1h.

Etaler la pâte sablée, la foncer dans un moule à tarte et piquer le fond à l’aide d’une fourchette. Faire pré-cuire la pâte une dizaine de minute.

Pendant ce temps, mélanger les oeufs, les 100g de sucre restants, la crème, les amandes en poudre et la vanille.
Sortir la pâte du four, y répartir la crème puis les morceaux de rhubarbe de manière homogène.

Enfourner de nouveau pour une trentaine de minute, jusqu’à ce que la tarte soit prise et bien dorée.

Sablés de Noël ou Weihnachtsplätzchen

Noël approche à grands pas, et avec lui, la préparation des délicieux Plätzchen et/ou Bredeles, c’est-à-dire ces déliceux biscuits corsés en épices qu’on picore en attendant les premiers flocons.

A la Saint Nicolas, mes charmants bambins d’élèves ont eu la joie de goûter aux classiques Spekulazius, dont Lucie avait publié la recette l’an passé
(un clic => ICI <=  ).
Réactions : « Ouah !! Franchement Maîtresse comment ils déééé-chirent tes gâteaux ! Tu peux nous en refaire hein ! Par contre ils ont un arrière goût chelou ! » (Le clou de girofle ne rencontre pas, cette année encore, tout le succès qu’il mérite…)

A la maison, les Spekulazius en rennes sont accrochés dans le sapin.
Mais dans les sachets en papier, c’est une recette un peu revisitée que j’ai décidé de préparer pour mes amis, mes amours, mes…

Vous êtes prêts ? C’est parti !

Biscuits de Noël aux noisettes, orange, gingembre et chocolat

Ingrédients :
– 250g de farine
– 125g de beurre
– 125g de cassonade
– 50g de poudre de noisette
– 1 oeuf
– 1 pincée de sel
– 100g de chocolat noir hâché
– 3 mocheaux de gingembre confit
– 1 c. à soupe d’eau de fleur d’oranger, ou le zeste d’une demie orange (et pourquoi pas des zestes confits, d’ailleurs ?)

1) Préchauffez le four à 180°.
2) Versez tous les ingrédients dans votre robot, et pétrissez jusqu’à obtention d’une boule de pâte homogène. Laissez reposer au frais pendant 1h.
3) Etalez la pâte sur 3 à 5mm d’épaisseur, et détailler des biscuits avec des emporte-pièces. (J’ai choisi les petites formes trop jolies que Lucie m’a offertes le week end dernier 🙂 🙂  )
4) Enfournez les biscuits pendant 10 min.

Les plus gourmands n’auront pas besoin d’attendre qu’ils refroidissent pour les croquer !

Les soeurs Saladetkoi vous souhaitent à tous de joyeuses fêtes !
Merci pour cette année passée en votre compagnie, à travers les salons, les challenges, les concours, les émissions… Bref, à travers la cuisine !

Restons connectés !

A très bientôt pour de nouvelles aventure !

Raviolis aux poires et au cacao

C’est l’histoire d’une recette à 4 mains, lancée à l’occasion du passage de Lucie dans la célèbre émission Un Dîner Presque Parfait, le 19 septembre dernier.

Un petit mot, au passage. Je n’ai pas envie d’épiloguer sur les conséquences désagréable de l’émission sur le blog, je parle bien des commentaires de rageuses qu’on a pu lire ici depuis l’émission. Un simple mot : La défaite est parfois difficile à encaisser, mais ce n’est pas en se vengeant sur les meilleurs qu’on progresse. Les articles et recettes contenant tomates, ail, oignons et autres délices que Lucie ne supporte pas, ces articles ont été écrits par moi (Cécile). Ainsi, les insultes et commentaires désagréable (et dénués de tout sens) laissés ici, pouvaient être ravalés.
« La critique est aisée, mais l’art est difficile », comme on dit. Lucie mérite amplement sa victoire, ne vous en déplaise. Les candidats et le public l’ont reconnue, je crois qu’on n’a même pas à polémiquer.

Au passage, je félicite encore une fois ma sœur chérie pour son menu original et délicieux, en rouge et noir ! Il fallait le faire ! Et elle l’a fait ! J’te kiffe ma sœur 🙂
Parenthèse refermée.

Lucie et moi avons donc imaginé une recette inédite que les caméramen de la prod’ de l’émission ont filmée de A à Z. 2H30 de tournage, zéro minute à l’antenne le 19 septembre… Lol
Cela méritait donc bien un article sur le blog, non ? 🙂

Raviolis sucré-salés aux poires et au cacao


Pour 4 personnes :

Pour la pâte à raviolis :
– 100g de farine
– 50g de cacao en poudre
– 1 cuiller à soupe de sel
– de l’eau

Pour la garniture :
– 2 poires bien mûres
– 50g de beurre
– 50g de sucre
– 1 cuiller à soupe de gruet de cacao haché

Pour le bouillon :
– 1,5 litre d’eau
– 1 bâton de cannelle
– 1 gousse de vanille
– Poivre de séchuan
– Poivre blanc
– ½ citron
– 1 pincée de sel

1) Préparez la pâte à raviolis
Dans le bol du robot, mélangez tous les ingrédient. Ajoutez l’eau petit à petit jusqu’à obtention d’une pâte souple mais non collante.
Réservez au frais.

2) Préparez le bouillon.
Dans une grande casserole, versez l’eau.
Fendez la gousse de vanille dans le sens de la longueur, et grattez les graines avec le couteau. Jetez tout cela (la gousse et les graines) dans l’eau, d’un geste gracieux et efficace si possible (dans le cas où l’on est filmé pour une émission, par exemple). Ajoutez le jus du demi citron.
Ajoutez le reste des ingrédients nécessaires au bouillon, et amenez à frémissement.

3) Pendant ce temps, préparez les poires.
Après les avoir épluché, détaillez les en petit cubes. Citronnez-les légèrement (il vous reste bien encore un demi citron, non ?) pour ne pas qu’ils noircissent. Dans une sauteuse, faites fondre le beurre et le sucre. Jetez-y les poires et le gruet de cacao haché. Laissez caraméliser les fruits quelques minutes. Ils doivent être dorés et fondants à souhait.

4) Montez les raviolis !
Etalez la pâte à raviolis le plus finement possible. Détaillez des disques de 10cm de diamètre. Garnissez la moitié de chacun d’entre eux avec les poires, puis repliez le disque, afin d’obtenir des demies lunes. Soudez bien, si nécessaire, en mouillant la pâte avant de la replier.

5) Et pour finir…
Pochez les raviolis pendant 5 à 6 minutes dans le bouillon frémissant. Egouttez les, puis nappez les du caramel des poires, vous savez, ce qui est resté au fond de la sauteuse ! Quoi ?! La sauteuse est déjà au lave-vaisselle ?? Bon… et bien un peu de beurre fondu fera l’affaire…:)
Servez de suite ! Avec une boule de sorbet à la poire, par exemple !

Et hop ! Encore un dessert pour notre petite Myrtille, intolérante aux œufs !

Bisous à tous !

Méli-Mélo de fruits de mer, autour du bouillon Ariaké

Qu’on se le dise, nous (les jumelles réfractaires) ne sommes pas très bouillon « industriels ».
Il faut dire que quand on lit, par ordre d’apparition (cube de bouillon de légume traditionnel) : sel, maltodextrine, exhausteurs de goût : glutamate, guanlynate et inosinate de sodium, légumes (6,4%) : ça refroidit un peu.
Il y a quelques temps, j’ai pourtant découvert Ariaké et je dois avouer être réconciliée avec les bouillons !

Principe : des sachets à faire infuser comme des tisanes.
Gros plus : dans le bouillon de légumes, il y a  des légumes ! (79% sans virgule oubliée)

Alors participer à un concours Ariaké, je dis oui !
Voici ma déclinaison autour du bouillon « Coquillages » (très savoureux, et 100% coquillages – qui l’eu cru ?).

Ingrédients pour 4 personnes :

25 cL d’eau
1 sachet de bouillon Ariaké Coquillages
Sel

20 noix de St Jacques
4 poignées de coques
1 concombre
2 fruits de la passion
4 cuillères à café d’œufs de saumon
Aneth
Huile d’olive

  1. Préparer le bouillon : faire chauffer l’eau avec le sel et le sachet Ariaké Coquillages
  2. Y faire cuire les St Jacques quelques minutes, puis les retirer du bouillon.
  3. Réserver 25 cL de bouillon, y dissoudre 2g d’agar agar et faire bouillir le tout une minute.
    Le verser dans un plat rectangulaire puis y disposer  les noix de St Jacques  bien séparées les unes des autres, de manière à pouvoir découper des « cubes de St Jacques en gelée » une fois refroidie.
  4. Nettoyer les coques puis les faire cuire dans un fond d’eau jusqu’à ce qu’elles s’ouvrent.
  5. A l’aide d’un économe, couper le concombre en tagliatelles.Dressez en disposant les différents éléments dans une assiette. Assaisonnez en parsemant de fruit de la passion, œufs de saumon, aneth et un filet d’huile d’olive.
    Cette entrée se déguste froide ou tiède : les glaçons de St Jacques peuvent être chauffés dans un four à 80°.

Tzatziki de Fenouil

Cette histoire commence avec la mort de Rob’, un robot réputé « robuste » (en fait pas tant que ça… notez ici l’allitération en R. Grrr…). (et je passe l’épisode de l’interlocuteur  de mauvaise foi qui refuse finalement de prendre en charge l’envoie du robot-sous-garanti en réparation – 50€ pour ma pomme, allez savoir pourquoi ?)

Allez, la bonne nouvelle, c’est que ce départ marque l’arrivée de Thermomix dans ma petite cuisine ! Pour tester la qualité de ce petit génie (échaudée par l’histoire de Rob’), je me suis dit qu’il fallait le tester au moins dix fois, à peine nombre de fois dont je m’étais servie de Rob’ avant surchauffe du moteur.
Donc j’en arrive à y mettre tout et n’importe quoi, en favorisant ce qui est dur et ce à quoi je n’aurais jamais pensé avant.

Comme il fait très chaud aujourd’hui et qu’il est temps de ramasser mes petites carottes sur le balcon, je me suis improvisé un tzatziki.

Honnêtement, j’avais encore des concombres dans le frigo mais pour éprouver mon nouveau jouet,  j’ai plutôt choisi un bon gros fenouil. Tout comme le concombre, il a un goût assez subtil et est gorgé d’eau. De plus, sa saveur légèrement anisée allait pouvoir compenser le fait que je n’avais pas d’aneth sous la main (utilisée traditionnellement dans le tzatziki grec)
Je coupe le bulbe en gros morceaux, les mets dans la cuve de Thermo avec une cuillère à café de sel et mixe tout à puissance maximale pour tester la bête. Au bout de quelques secondes, je récupère mon fenouil pulvérisé : simple, rapide, efficace. Le résultat final est surprenant, très frais et subtil.

Ingrédients :
1 gros fenouil
1 yaourt à la grecque
1 cuillère à café de sel, poivre
Des herbes fraîches (j’ai mis du basilic)
Une grosse lampée de très bonne huile d’olive

1. Mixez ou râpez le fenouil très finement. Ajoutez le sel et faite le dégorger en le pressant régulièrement pour en enlever le plus d’eau possible.
2. Ajoutez le yaourt, les herbes ciselées, le poivre et l’huile d’olive.
3. Idéalement, réservez au frais quelques heures avant de servir pour laisser le temps à toutes les saveurs de se développer.

A déguster avec des crudités, sur des tartines de pain grillé ou pourquoi pas comme base d’une salade composée !

Soufflé au parmesan et jambon Serano

Lorsqu’on me demande à quel moment j’ai appris à cuisiner, je réponds toujours et sans hésitater « dans les jupes de ma mère »: formée sur le tas par une femme passionnée et qui, de fait, ne faisait pas de pâtisserie : tout était au visu, au touché… Malgré cela, elle faisait d’excellents soufflés et c’est d’ailleurs l’une des premières recettes que j’ai apprise avec elle (après la quiche lorraine).

A base d’une béchamel « plutôt épaisse », on rajoute « quelques œufs » (les œufs  venaient des poules de mon père et avaient rarement la même taille…), « un peu de gruyère et de muscade ».
J’étais émerveillée de la voir faire, du haut de mes 5 ans, sans recette, au feeling… au final elle sortait du four un gros plat tout léger et gonflé…

Alors comment vous dire ici…

Pour 4 petits soufflés :
environ deux cuillères à soupe de beurre
le même poids de farine
Environ un demi litre de lait
Trois belles poignées de parmesan râpé
4 tranches de jambon Serano
2 à 3 oeufs
Sel et poivre

1. Dans une casserole, faites fondre le beurre avec la farine. Ajoutez ensuite le lait petit à petit jusqu’à l’obtention d’une béchamel lisse et plutôt épaisse.

2. Ajoutez-y le parmesan et le jambon hâché et les jaunes d’œufs. Rectifiez éventuellement l’assaisonnement avec le sel et le poivre (voire de la muscade, de l’origan…)

3. Battez les blancs d’œuf en neige et ajoutez-les au mélange précédent.

4. Versez cette préparation dans des petits ramequins et enfournez une vingtaine de minute dans un four à 200°C.

5. Dégustez immédiatement à la sortie du four… avec une bonne salade !

Macarons au foie gras et à la confiture d’oignon rouge

Pour un apéro chic entre amateurs de macarons… ou comment ravir le palais de Belle Maman ! Une recette idéale pour les fêtes de Noël…

Je m’y prends deux jours avant pour réaliser mon foie gras d’après le tour de main enseigné par Chef Damien l’hivers dernier : on dénerve le foie, on l’enrubanne en petit boudin (diamètre de la coque des macarons) dans du papier film après l’avoir généreusement assaisonné (sel, poivre et cognac pour moi) et on fait cuire dans une eau à 65°.
L’expert nous avait dit à l’époque « pour le temps de cuisson, à vous de juger… quand vous estimez que le foie a suffisamment fondu, vous l’arrêtez ». C’est comme ça que je le fais et je dois avouer que ça me va bien. En moyenne, ça prend un bon quart d’heure à cuire, comme le boudin est assez fin.
Une fois cuit, on laisse « rassir » ce fois gras deux jours au réfrigérateur, pour que les arômes se développent bien.

Je jour J, je réalise le confit d’oignon rouge. Je commence par cette étape parce qu’il a besoin de cuire une bonne heure et demie, pendant laquelle je pourrai réaliser les coques de macarons d’après la recette de base que vous trouverez ici.

Ingrédients :
4 oignons rouges
2 cuillères à soupe d’huile d’olive
4 cuillères à soupe de vinaigre de framboise
4 cuillères à soupe de cassonade
Sel et poivre

Emincer les oignons et les faire suer une dizaine de minute dans l’huile d’olive avec le sel, jusqu’à ce que les oignons soient translucides et légèrement ramollis. Déglacez avec le vinaigre de framboise, ajoutez la cassonade et poivrez. Laissez cuire à feu très doux pendant une bonne heure et demie.

Pour le montage, j’étale une fine couche de ce confit d’oignon refroidi sur une demie coque de macarons, que je recouvre d’une tranche de foie gras réalisé la veille. Je saupoudre le tout d’une pointe de fleur de sel et de piment d’Espelette…
Personnellement, je préfère ne pas recouvrir d’une deuxième coque, comme le serait un macaron « normal », parce que cela masque un peu trop le goût du foie gras . Je les sers donc comme de petits toast.

A déguster en apéro avec les doigts, ou en entrée… avec une bonne salade !

Macarons !

Moi je les préfère au sucre cuit…

Pour une quarantaine de macarons :

200g de poudre d’amande
200g de sucre semoule
200g de sucre glace
2*75g de blanc d’œuf
50g d’eau
Mixer ensemble la poudre d’amande et le sucre glace.
Dans une casserole, mélanger l’eau et le sucre semoule, puis cuire à 118-119 °C.
Avant d’atteindre cette température, verser 75 g de blancs dans la cuve d’un batteur et les monter. Lorsque le sucre a atteint la bonne température, le verser sur les blancs montés. Fouetter ensuite jusqu’à refroidissement de la meringue.
Verser le reste de blancs d’œufs sur lé mélange amande/sucre glace.
Incorporer une petite partie de la meringue froide à ce mélange, puis ajouter le reste. « Macaroner » en écrasant la pâte le long des parois du bol pour avoir une pâte lisse et homogène, légèrement coulante.

Remplir une poche à douille avec cette préparation et coucher les macarons sur une feuille de papier sulfurisé. Tapoter légèrement la plaque, puis laisser crouter une bonne demi-heure. Enfourner une douzaine de minute en tournant la plaque à mi-cuisson.
Laisser ensuite les coques refroidir avant le démoulage.

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