Encore une belle surprise à l’atelier 750g !

Le nouveau « QG des blogueurs » a accueilli la semaine dernière encore une bien belle rencontre !
En ce 25 septembre 2013, c’est Fiskars qui était venu nous présenter leur gamme de produits pour la cuisine.
Fiskars, c’est l’icône des célèbres paires de ciseaux «oranges», élus par moi « Les seuls qui coupent bien » : après en avoir testé une batterie inimaginable  pendant mes (longs) préparatifs de mariage, j’en revenais toujours aux mêmes.
Du coup, j’avais grand hâte de « goûter » à l’acier de leurs couteaux, râpes et autres petits bijoux de l’art culinaire.

« Créée en 1649, Fiskars est la plus ancienne entreprise de Finlande. Fiskars fabrique et forge des outils et de l’acier depuis 360 ans. Nos racines viennent du village de Fiskars, devenu un centre d’art et de design où se mêlent l’esthétisme moderne et les anciennes traditions artisanales. Fiskars fût, en 1967, la première entreprise à lancer des ciseaux à anneaux en plastique dans le monde. Depuis, ces ciseaux orange ont été vendus à plus d’un milliard d’exemplaires à travers le monde et sont devenus de véritables icones à tel point que la couleur orange Fiskars est synonyme de ciseaux partout dans le monde. Fiskars est la marque numéro 1 de ciseaux à l’échelle planétaire. »

 

Menées par CriCri et en douce companie d’Angélique et d’ Aurélie, nous avons crée 4 recettes mettant à l’épreuve la large gamme Fiskars : 2 sucrées et 2 salées.

En cette belle journée d’automne, Aurélie et moi nous étions mises ensemble pour réaliser un petit tartare de légumes d’été, histoire de profiter des derniers jours de soleil de l’année.

 

Pour 4 personnes :

1 courgette
4 tomates
1 oignon
3 artichauts poivrade
5 feuilles de basilic
Sel
Poivre
Citron
Huile d’olive
4 tartines de pain
piment d’Espelette

 

1. Tourner les artichauds poivrade. Aurélie et moi avons utilisé un couteau économe : ça marche.
Emincez-les finement comme un carpaccio, et plongez-les immédiatement dans de l’eau citronnée.

2. Couper en brunoise la courgette, les tomates et les oignons.

3. Mettez le tout dans un saladier, ajoutez le basilic finement ciselé et assaisonnez d’huile d’olives, de citron, de sel, et de poivre. Mélangez bien l’ensemble et réservez au frais.

4. Faites griller 4 tranches de pain,  placez-les dans une assiette et déposez une belle quenelle de salade (légèrement égoutée pour ne pas trop détremper le pain) sur les tranches de pain. Ajouter le carpaccio d’artichauts poivrades sur le dessus.

Saupoudrer de piment d’Espelette et servir.

 

Ma recette de brioche

Je pose ici ma recette de brioche, longuement attendue par Noëlle, une amie américaine rentrée au bercail  et obviously serieusement en manque de nos bonnes pâtisseries dégoulinantes de beurre frais !

Bien sûr, plusieurs variantes sont possibles, en fonction des humeurs, des saisons, des goûts des uns et des autres.
J’aime bien y mettre de temps à autres :
– de la fleur d’oranger et du sucre en grain sur le dessus
– de la vanille et des pépites de chocolat
– des raisins gonflés dans du rhum
– du praliné classique

Ici, j’y mets de la praline rose. Pourquoi ?
– Premièrement parce que Noëlle m’a demandé cette recette spécifiquement !
– deuxièmement parce qu’on approche le mois d’octobre, qui sera cette année encore le mois de la sensibilisation sur le dépistage du cancer du sein.
Cette recette représente le ruban rose, symbole de cette mobilisation. Même si l’on n’est pas encore en octobre, c’est important pour moi de marquer le coup : Si le mouvement pouvait s’étendre aux autres mois de l’année, ce serait une jolie progression pour la sensibilisation, l’avancée du depistage précoce et le recul de la maladie.

Pour 2 brioches :

500g de farine
200g de beurre
5 œufs frais + 1 œuf pour la dorure
90g de sucre
25g de levure de boulanger fraîche (ou 2 sachets de levure deshydratée)
10cL de lait tiède
1 cuillère à café de sel
1 bol de pralines roses concassées

Temps de repos : 14 heures (ou 4 heures)

Temps de cuisson : 30 minutes.

1. Pétrissage

Délayez la levure dans le lait tiède. Le lait ne doit pas être trop chaud, pour ne pas tuer la levure : 30-35°C maximum.

Verser la farine dans le bol du batteur. Battez légèrement les œufs dans un saladier.

Commencez à mélanger la farine à vitesse moyenne, et ajoutez petit à petit les œufs battus.
Ajoutez le mélange lait-levure, et terminez par le sel et le sucre.

Ne pas ajouter le sel et le sucre directement sur la levure, pour ne pas la tuer.

Continuez de pétrire la pâte pendant au moins 20 minutes à vitesse moyenne, jusqu’à ce qu’elle se décolle des paroies du bol.

Tout en continuant de pétrire, ajoutez le beurre coupé en petits morceaux. Poursuivez le pétrissage encore 20 minutes, jusqu’à ce que la pâte soit très brillante, très élastique et se décolle des paroies du bol.

Test : Prenez une petite boule de pâte ; vous devez pouvoir l’étirer entre vos doigts très très finement, comme du papier.

2. Pointage (1st rising time)

Recouvrez le bol avec un torchon et laissez ainsi lever la pâte à température ambiante jusqu’à ce qu’elle double de volume.

Pour un résultat optimal, laissez lever la pâte au réfrigérateur au lieu de la faire lever à température ambiante. Comptez 18h de temps de pointage.

L’intérêt de laisser reposer la pâte au réfrigateur est  de développer plus de saveurs, grâce à une fermentation lente. Mais si vous êtes pressées, laissez les brioches à tempérarture ambiante au lieu de les mettre au réfrigérateur : elle seront prête à cuire au bout d’1h30.

3. Façonnage « And the Lord God formed man of the dust of the ground, and breathed into his nostrils the breath of life; and man became a living soul. »
Etalez la pâte en rectangles de la largeur du moule à cake.
Saupoudrez les pâtes de pralines roses en poudre. Roulez ces deux rectangles, et les placer dans un moule à cake chacun.

4. Apprêt (2nd rising time) 
Recouvrez les brioches d’un film alimentaire,  et laissez-les lever pendant 1h30 environ.

5. Cuisson – « Qu’ils mangent de la brioche ! »
Au bout de 12h, les brioches ont doublé de volume. Dorez-les avec l’œuf restant, légèrement battu et délayé avec une goute de crème liquide.

Faire cuire 30 mn dans un four, initiallement préchauffé à 180°C.

Faux oeuf cocotte au saumon fumé, St Môret® et pain grillé

(retrouvez et votez pour cette recette ici >>> http://stmoret.fr-hmd.com/recette/8/ )

Quand je pense à un plat réconfortant, un plat de mon enfance, il s’agit plutôt de grandes lignes directrices que d’un plat bien précis. Petite déjà, j’avais des difficultés à imaginer manger certaines choses que mangeaient mes petits camarades (la purée en volcan de sauce, le hachis Parmentier, les spaghettis bolognaise…) Moi, ma madeleine de Proust, c’est « du pain avec un œuf ». C’est un plat qui revient régulièrement dans mon alimentation, vers lequel je me dirige quand je vais mal, que je suis stressée ou fatiguée… J’ai participé à ce petit défit lancé par Harry’s et St Môret®, invitant des bloggeurs à revisiter un plat de leur enfance. Devinez ce que j’ai choisi de faire ? Du pain avec un œuf…

Pour 4 personnes :
– 8 oeufs
– 150g de St Môret®
– 12 tranches de pain de mie ‘Extra Moelleux’ Harrys Nature
– 4 petites tranches de saumon fumé
– 4 belles noisettes de beurre ramolli
– Poivre

1. Beurrez généreusement les cocottes et les tranches d’Extra Moelleux Harrys. Chemisez les cocottes avec 3 tranches de pain de mie chacune.
2. Coupez le saumon fumé en petites lanières et divisez St Môret® en petites parcelles.
3. Battez légèrement les oeufs. Ajoutez-y le saumon et St Môret®. Poivrez selon vos goûts. Mélangez délicatement, pour éviter d’incorporer trop d’air dans la préparation.
4. Répartissez l’appareil dans les cocottes, et enfournez à 200°C pendant 5 premières minutes.
5. Au bout de 5 minutes, sortez les cocottes du four, mélangez délicatement à l’aide d’une fourchette le mélange d’œufs qui commence à prendre, pour une cuisson homogène. Ré-enfournez pour 5-10 minutes suivant vos goûts

 

Cette recette intervient, comme énoncé plus haut, dans le cadre d’un concours culinaire, où je vous invite largement à voter pour ma recette 😉 ici >>> http://stmoret.fr-hmd.com/recette/8/ <<<

Si je gagne, les internautes qui auront voté pour ma recette auront la chance de participer à tirage au sort, qui leur permettra de remporter les cadeaux suivantes :
–    1er lot : 1 cours de cuisine et 1 dîner pour 8 personnes maximum au domicile du gagnant avec le chef Damien de 750g.com d’une valeur unitaire d’environ 1 500 € TTC (cette dotation inclut la prestation du Chef Damien ainsi que les ingrédients nécessaires au cours de cuisine et au diner).
–    Du 2ème au 5ème lot : 1 coffret Smartbox « Escapade Gourmande » d’une valeur unitaire d’environ 189,90 € TTC
–    Du 6ème au 10ème lot : de 2 livres Marabout (1 St Môret® et 1 Harrys) d’une valeur unitaire d’environ 7 € TTC

Bonne chance à vous !

Karpouzopita, ou gateau grec à la pastèque

L’été a enfin pointé le bout de son nez, et avec mes envie de pastèque.
Face à mes petits restes de ce fruit estival par excellence, ressurgissent mes souvenirs de ce gâteau peu commun, goûté la première fois en Grèce il y a trois ans.
La recette est relativement simple, mais il faut s’y prendre la veille : la pastèque doit rendre son eau toute la nuit.

Ingrédients :
500g de pastèque
150g de farine
80g de sucre + quelques cuillères à soupe pour la pastèque
3 cuillères à soupe de miel
3 cuillères à soupe d’huile d’olive
1 cuillère à café de cannelle en poudre
des graines de sésame

1. La veille, couper la pastèque en petits morceaux, la mélanger avec un peu de sucre et la laisser rendre son eau dans une passoire, au frais, toute la nuit.

2. Ecraser légèrement la pastèque, bien la presser entre ses mains pour enlever le maximum d’eau restant.

3. Mélanger la farine, le sucre et la cannelle. Ajouter petit à petit l’huile d’olive et le miel pour former une pâte homogène. Incorporer la pastèque.

4. Chemiser un moule à gâteau avec de l’huile d’olive et des graines de sésame. Verser la pâte dans le moule, et enfourner 50 minutes dans un four préchauffé à 190°C.
Une fois cuit, démouler le gâteau immédiatement pour ne pas qu’il colle au moule.

 

 

Coup d’chaud sur la mayo !

Gros challenge, au nouvel atelier 750g : Amora nous lance le défit de cuisiner la mayonnaise « à chaud ».

Forcément, dit comme ça « à froid », ça peut interpeller – et au départ on s’est un peu cassé la tête avec l’équipe de choc (Cricri, Pascale et Brigitte) pour élaborer 3 plats sur cette base.

Mais au final, pourquoi pas ? Sortant du carcan du « truc gras en pot », je l’ai regardé plutôt sous l’angle du condiment/assaisonnement, cette mayonnaise.
Quand on voit qu’elle est composée d’huile, de moutarde, de vinaigre et d’œuf, on n’est pas loin de ce qu’on pourrait spontanément rajouter dans une préparation lambda pour lui donner un peu de peps.

Du coup, j’ai imaginé une frittata de légumes assaisonnée à la mayonnaise.

Voici ce que j’ai mis dedans :

12 œufs
2 petites courgettes
1 aubergine
1 oignon
100g de chèvre frais
une dizaine de tomates cerises
2 cuillères à soupe de mayonnaise
sel et piment d’Espelette

Et comment je l’ai réalisée ?

1. Émincez l’oignon, coupez les courgettes et l’aubergine en brunoise.

2. Faites revenir les légumes à feu vif dans une poêle à bords épais avec un peu d’huile d’olive, salez les légumes pour qu’ils rendent leur eau de végétation.

3. Pendant ce temps, battez les œuf avec une cuillère de mayonnaise, un peu de sel (selon vos goûts… malheureusement moi je mange assez salé) et une pointe de piment d’Espelette.

4. Baissez le feu sous la poêle. Versez les œufs en une fois sur le mélange de légumes et laissez cuire ainsi à feu doux SANS TOUCHER A RIEN.

5. Quand le mélange commence à prendre, disposez ça et là sur le dessus de la frittata les tomates cerise et des petites cuillères de fromage de chèvre.

6. Terminez la cuisson de la frittata au four, à 180° en chaleur tournante. La frittata est cuite quand le dessus est bien pris.

« Trempette » et petits sablés aux baies roses, zaatar et parmesan.

Certes, on avait convenu que « what happens in Barcelona stays in Barcelona », mais je pense que la recette de la Trempette a le droit d’être divulguée.

Tout est parti d’un week end entre copines, de l’organisation d’un apéro dinatoire à 50€ pour 6 (boissons inclues) et d’une Lucie qui se dit que faire chips/cacahuètes, « c’est pas assez VIP ».
Devant l’air sceptique de mes camarades (qui m’avaient élues responsable en chef des courses et du budget), je m’empare d’une boite de sardines à l’huile, d’un pot de fromage blanc… J’entendais déjà quelques protestations faussement étouffées.
Arrivée à la maison, je mixe le tout, apporte la chose à table, et là : unanimité (à une réfractaire près.) Vous m’aviez demandé la recette, les filles, alors la voici :

1 boite de sardines
3 cuillères à soupe de fromage blanc
2 cuillères à soupe de fromage frais (j’ai utilisé du Philadelphia)
le jus d’un demi citron
1 cuillère à soupe de crème de balsamique
sel, et poivre.

=> mixer l’ensemble et servir avec des choses à tremper dedans !

Aujourd’hui, je suis rentrée de ce formidable week end, et je reçois des amis.
Mon fiancé (qui déteste le poisson), m’a demandé de refaire de la trempette, mais à base de thon (tolérance approximative au thon).
J’ai choisi de les accompagner de petits sablés, parfumés aux baies roses, au Zaatar (fourni par ma collègue et amie libanaise) et au parmesan.

Ingrédients :
250g de farine
150g de beurre ramolli
1 oeuf
1 cuillère à soupe de cassonade
1 cuillère à café de sel
1 cuillère à soupe de baies roses écrasées
1 cuillère à soupe de Zaatar – mélange libanais à base de thym, de sésame et de Sumac (autre épice libanaise)
1 poignée de parmesan râpé

1. Mélangez le beurre avec le sucre et le sel jusqu’à ce que le mélange blanchisse.
2. Ajoutez la farine et l’œuf, puis incorporez les épices et le parmesan.
3. Etalez la pâte sur environ 3mm d’épaisseur, et découpez-la avec l’emporte-pièce de votre choix.
4. Faites cuire ces sablés une quinzaine de minute, dans un four à 190°.

Pancakes aux flocons d’avoine, cottage cheese et myrtilles

Les circonstances de la vie font que je fais en ce moment relativement attention à ma ligne, et en parallèle pas mal de sport.
Cette recette est une super alternative pour le petit déjeuné, qui remplace volontiers les viennoiseries ou autres : super gourmande, protéinées, mais pas hyper riche pour autant.
Ici, j’utilise essentiellement des flocons d’avoine (riches en protéine) au détriment de la farine, je mets du Cottage cheese (à l’apport calorique faible) pour texturer le tout, et  des myrtilles pour les vitamines et antioxidants.

Ingrédients (pour une quinzaine de pancakes)
– 1 pot de Cottage Cheese – je garde le pot que j’utilise ensuite comme unité de mesure, façon gâteau au yaourt.
– ¾ de pot de flocons d’avoine instantanés
– ¼ de pot de farine complète
– 3 oeufs
– 2 cuillères à soupe de sucre vanillé
– 1 cuillère à café de cannelle moulue
– ½ sachet de levure chimique
– 1 pincée de sel
– 3 poignées de myrtilles fraiches ou surgelées
un peu de lait écremé

Mettre tous les ingrédients SAUF les myrtilles au blender, et mixer jusqu’à ce que la pâte soit lisse. Ajouter un peu de lait pour ajuster la consistance de la pâte, qui doit avoir la texture d’un yaourt liquide.
Ajouter les myrtilles et mélanger délicatement à la cuillère.

Mettre une poêle à chauffer à feu moyen. Verser des petites doses de pâtes pour former les pancakes, et les retourner dès lors que le dessus fait des bulles (sous l’action de la levure).

Déguster dans l’instant ! (avec un peu de sirop d’érable pour les gourmands)

Pudding de brioche : la cuisine des restes !

Je bataille régulièrement avec Monsieur pour ne pas jeter SYSTEMATIQUEMENT le moindre petit reste qu’on a au frigo.
Ici, j’avais des briochettes « brûlées » à son goût (juste bien, bien dorée) et un peu sèches, et un gros reste de crème anglaise de la veille : pile poil ce qu’il faut pour un bon gros pudding, ce gâteau bien rustique et customisable à souhait !

Ingrédients :
500g de restes de brioche (les miennes étaient aux raisins)
½ litre de crème anglaise
3 cuillères à soupe de rhum
une poignée de noix
Beurre et sucre pour chemiser le moule

Coupez grossièrement la brioche en cubes d’environ 2cm.
Mélangez-les à la crème anglaise avec le rhum, et laissez gonfler une heure au réfrigérateur.
Pendant ce temps, faites griller les noix dans une poêle et ajoutez-les à la pâte à pudding.

Beurrez et sucre un moule à manqué.

Versez-y le mélange de brioche et tassez bien.

Faites cuire ce pudding 35mn dans un four à 150°C.

Petits beignets de Cottage Cheese au Chavignol

J’adore le fromage, sous toutes ses formes.
Ca, Belle-Maman l’a compris ! Elle m’offre régulièrement pleins de petits Chavignols (directement importés de la ferme) qui sont absolument délicieux.
Mangeant de la salade de chèvres chauds matin, midi et soir, j’ai fini par imaginer une autre recette pour accommoder ces petites douceurs : en beignets tout chauds, moelleux et croustillants – un vrai régal.
J’ai réalisé une base de cottage cheese qui apporte de « la tenue » aux beignets, bien meilleure que la ricotta.


 

Ingrédients pour 4 personnes :
250g de cottage cheese
1 crottin de Chavignol
2 cuillères à soupe de farine
1 oeuf
½ sachet de levure
Sel et poivre
De l’huile de friture pour la cuisson.

1. Mixez le chèvre. Ajoutez-y le cottage cheese, la farine, la levure, le sel et le poivre.

2. Clarifiez l’œuf et ajoutez le jaune au mélange précédent.

3. Montez le blanc en neige et incorporez-le délicatement à la préparation.

4. Faites chauffer l’huile à 180°. Formez des petites boules de pâtes à l’aide de deux cuillères et plongez-les dans l’huile. Retirez-les dès qu’ils sont bien dorés et épongez-les soigneusement sur du papier absorbant.

A déguster bien chaud, avec une bonne salade !

Germknödel, ou briochettes fourées à la vapeur

Avec l’arrivée de Noël me revient chaque année une espèce de nostalgie hivernale, hautement stimulée par la première odeur de cannelle, la vue d’une graine de pavot ou d’une branche de sapin. Les premiers flocons me rappellent les marchés de Noël en Allemagne, où j’y faisais volontiers un détour après la fac, vélo sous le bras, emmitouflée dans mes couches de laines…
L’un des plus jolis souvenirs que j’en garde, c’est cette petite merveille :
une brioche à la vapeur toute chaude, farcie à la confiture de prune, largement arrosée de beurre fondu et parsemé de graines de pavot et sucre glace. Un petit délice qui met du baume au cœur, quand l’hiver est rude et qu’on se sent un peu seule face à soi-même.

Ingrédients (pour 4 gourmands)
250g de farine
100g de lait
1 œuf
1 sachet de levure de boulanger
2 cuillères à soupe de sucre en poudre
1/2 cuillère à café de sel
100g de beurre
40 de confiture de prune
40g de pavot
20g de sucre glace

– Mixer le pavot avec le sucre glace (J’ai utilisé mon Thermomix, vitesse maximum pendant 5 à 10 secondes)

– Faire la pâte : dans un bol, verser la farine, le sucre en poudre et le sel. Y ajouter la levure délayée dans le lait tiède et pétrir une dizaine de minutes. Ajouter l’œuf, 30g de beurre et poursuivre le pétrissage jusqu’à l’obtention d’une pâte lisse et brillante.
Laisser lever la pâte une heure dans un endroit tempéré.

– Au bout d’une heure, portionner la pâte en 4. Étaler chaque pâton et y déposer une cuillère à soupe de confiture de prune. Bien refermer chaque pâton à la manière d’une aumônière/raviole en s’assurant de BIEN souder les bords (avec un peu d’eau par exemple).
Laisser lever une seconde fois les petites brioches jusqu’à ce qu’elles doublent de volume.

– Faire cuire les briochettes à la vapeur. Personnellement, j’ai utilisé mon Thermomix en Varoma, vitesse 1, pendant 20mn. Ne pas hésiter à graisser le panier vapeur avant la cuisson.

Pendant la cuisson des briochettes, faire fondre le beurre.

Servir les briochettes dans l’instant, arrosées de beurre chaud et du mélange pavot-sucre glace.

[ATTENTION : C’EST TRES TRES BON !]

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